| Dernières réponses | |  Elle marchais, d'un bon pas , regardant tantôt les feuilles orangées qui s'envolait, ou les noble oiseaux qui prennaient leur envol.
Elle aimais cette ambiance et je dus bien avouer que moi aussi.
Bientôt, nous nous retrouvâmes devant un sentier à droite qui menait a la plage , et un sentier a gauche qui au contraire, s'enfoncait dans la foret.
Je pris celui de gauche, la plage ce sera pour plus tard au fond !
C'était un petit sebtier avec des montées et des decentes trés fréquentes. Prancer poussa un petit hénissement: signal, elle voulait passer au trot.
-D'accord ma belle, ca va etre amusant.
Effectivement ca le fut je riais aux éclats tant j'étais secouer, au bou d'un moment je la remis au pas.
-Doucement ma belle ou tu vas etre epuiser.
Un nouveau choix entre trois sentiers cette fois ci un a l'extreme gauche lautre a droite un au milieu.
-On prend celui de gauche, il nous ramenera peu a peu au pin creux.
Ce sentier allat toujours tou droit et , contrairement a lautre était parfaitement plat.
Prancer piaffait d'impatienece,moi aussi .
Alors je reculais ma jambe gauche et, elle y alla, au galop, tout etais merveilleux,mais elle voulait y aller alors je lacha les renes et elle partis a fond , quand a moi, cheveux au vent j'étais en plein reve, a mon gout les terres du pin creux s'affichèrent trop vite devant mes yeux, alors a contrecoeur. Je la fis marcher pendant vingts minutes et descendit de ce noble destrier ... |
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